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HISTOIRE   DE L'HABILLEMENT                                        IX

 RÉCAPITULATIF

5 MILLÉNAIRES

À partir des huit premiers chapitres, nous présentons dans cet article l'évolution de l'habillement au cours des 5 derniers millénaires. Il va de soi que tout ne peut être dit et seules les costumes les plus représentatifs sont repris. Pour plus de photographies, voir les articles d'où sont extraites celles que nous rappelons dans ce récapitulatif.

Chapitre 1 : Du Néolithique à Rome : LE MOYEN-ORIENT - L'EUROPE

Chapitre 2 : VI^e siècle av. J.C. – XI^e siècle : L'EUROPE - LA FRANCE

Chapitre 3 : XII^e siècle – XIII^e siècle : L'EUROPE - LA FRANCE

Chapitre 4 : XIV^e siècle – XV^e siècle : LA FRANCE

 Chapitre 5 : XVI^e siècle : LA FRANCE

Chapitre 6 : XVII^e siècle : LA FRANCE

Chapitre 7  : XVIII^e siècle : LA FRANCE

Chapitre 8  : XIX^e siècle : LA FRANCE

Ce n'est donc là qu'un résumé des 8 premiers articles de cette rubrique consacrée à l'Histoire de l'habillement. Le but est de montrer en quelques pages l'évolution des "modes". Au total, sur l'ensemble, nous vous avons proposé 376 photographies, et ce n'est pas fini. Certains documents nous permettront prochainement de compléter cette iconographie et de mieux faire comprendre ce que sont certains vêtements : la description n'est pas toujours compréhensible ; un dessin ou une photographie est plus évocatrice.

Nous en avons presque terminé avec cette histoire de l'habillement, conscients "à la fois de la grandeur du sujet et, s'il est permis de l'avouer, par l'inutilité du travail" (Bossuet). Peut-on être exhaustif sur un tel sujet ? Sûrement non. Nous allons tout de même tenter d'apporter deux compléments : l'un consacré aux sous-vêtements, l'autre aux vêtements des enfants. Cela n'est pas chose facile car la littérature n'est pas très abondante sur ces sujets.

En conclusion générale, nous reprenons celle de Miguel Zamacoïs, romancier, poète, journaliste et observateur de notre société : "[La mode] est un peu l'enfant naturel de tout le monde : encore une fois, elle est née de la coquetterie, avide de s'extérioriser, des hommes et des femmes, de leur orgueil, de leur désir de plaire, de leur envie de faire valoir les charmes qu'ils ont, d'atténuer leurs imperfections, et aussi - n'ayons garde de l'oublier - d'éclipser le voisin, la voisine, le rival, la rivale... Nous la traitons volontiers de tyran, oubliant trop que nous sommes les artisans bénévoles et enchantés de notre esclavage. Soyons indulgents à la tyrannie souriante, agréable ou profitable, qui est notre œuvre, car, issue de nos tendances psychiques, de nos appétits, de nos intérêts, de notre vanité, la Mode est, en somme, la synthèse aimable de nos qualités et de nos défauts."

FIN