HISTOIRE    DU    TEXTILE

 

III

 

ORGANISATION

 

De l'Antiquité à la Révolution industrielle

De l'artisanat à l'industrie :

Des femmes, des hommes, des enfants

 

4

 

LA  DENTELLERIE

 

 

La dentelle : "Tissu ajouré constitué par l'entrelacement de fils formant un fond de réseau sur lequel se détachent des motifs décoratifs, floraux, de rinceaux, servant à l'ornement du costume ou à la décoration, et exécuté à l'aide d'aiguilles, de crochets, de fuseaux, de navettes ou de métier. Elles se font en lin, coton, laine, soie, nylon, en fils d'or ou d'argent". Ainsi la définit le Grand Dictionnaire Encyclopédique Larousse.

La dentellerie est une technique relativement récente par rapport à toutes celles que nous avons évoquées jusqu'à présent. Les premiers essais datent du XIVe siècle. Il s'agit d'un réseau de fils d'or et d'argent appelé bisette, fabriquée par les bisettiers, vendue par les lingères et les merciers. La technique à l'aiguille dérive de la broderie, celle au fuseau, plus tardive, de la passementerie. Venise revendique la primeur de la technique à l'aiguille, au XVe siècle. La technique aux fuseaux provient elle aussi d'Italie ou, peut-être, des Flandres !?  On les retrouve dans les pays méditerranéens, les Pays-Bas espagnols. En France, si l'Auvergne semble la première concernée, on trouve des dentellières dans presque toutes les régions comme nous le verrons.

Pour les dentelles à l'aiguille, on commence par retirer de la toile de lin certains fils correspondant à la partie à broder, créant des vides ou des jours. En augmentant ce nombre de fils, on arrive à un filet, nommé lacis, orné aux jonctions de diverses figures. Un résultat proche est obtenu soit en découpant la toile autour de la broderie, soit en brodant des motifs géométriques reliés par des brides. Au milieu du XVIe siècle, la technique change. Au lieu d'enlever des fils à partir d'un tissu, les ouvrières réalisent un réseau aux angles duquel elles brodent les motifs. Cette technique nécessite l'intervention de plusieurs ouvrières spécialisées chacune dans un domaine particulier. Une piqueuse réalise des trous dans un vélin pour tracer le dessin, la traceuse passe un fil dans les trous, la brideuse réalise le réseau ; suivent la fondeuse, la remplisseuse, la modeuse, la brodeuse, l'ébouteuse, la régaleuse, l'assembleuse ou l'apponceuse qui assemble les différentes pièces, la prépareuse, la monteuse, la découpeuse, la repasseuse. Un travail d'équipe donc, retrouvé, notamment, en partie, à Alençon.

Les dentelles aux fuseaux sont très légèrement plus récentes. Les centres les plus actifs sont Milan, Gênes, Raguse et Venise. Quelques décennies plus tard, au milieu du XVIe siècle, Bruxelles se distingue en introduisant des personnages dans les motifs du point de …Bruxelles. Celui-ci devient le point d'Angleterre outre-manche lorsque l'importation de ce point y est interdite. En France, le Puy-en-Velay est le centre de cette technique. Les dentellières utilisent un "métier" appelé carreau, coussin ou oreiller à dentelle composé d'un bâti en bois recouvert de tissu, présentant un trou dans sa partie supérieure pour recevoir un tambour horizontal autour duquel la dentelle s'enroule. Sur ce tambour, la dentellière place un parchemin percé de trous traçant le dessin. Dans ces trous, des épingles en laiton sont introduites, autour desquelles les fils suivent le tracé du dessin. Ces fils proviennent de fuseaux en bois de buis ou de prunier dont le poids suffit à tendre les fils en reposant sur le devant du carreau. Le carreau repose soit sur les genoux, soit sur un tréteau à dentellières. Le fil peut être stocké sur des bobines introduites dans les barreaux d'un tabouret. À la veillée, la dentellière s'éclaire à l'aide d'un globe rempli d'eau, le doulhi (terme local ?), qui sert de loupe à la lumière dispensée par une bougie (à ne pas confondre avec la lampe provençale à huile).

   



















 

 

Quelle soit à l'aiguille ou au fuseau, la dentelle est un accessoire prisé par toute la société. On en trouve à tous les prix. Dans un premier temps, elle est utilisée essentiellement par les hommes, laïcs ou religieux, dans les parties visibles de leurs vêtements. La mode féminine ne s'en empare qu'à partir du milieu du XVIe siècle.

Les premiers points utilisés ont une consonance italienne : reticella, punto a reticello, punto in aria.  Les dentelles se présentent alors sous la forme de bandes étroites bordées de dentelures – d'où le nom de dentelles qui leur sera donné -, avec des motifs géométriques, végétaux ou animaux. À la Renaissance, les dents sont moins proéminentes ; rinceaux et fleurs apparaissent. Les premiers recueils sont présentés en France au temps de François 1er. La dentelle provoque un énorme engouement tout au long du XVIe siècle : la mode des fraises, des hautes collerettes, des manchettes, la décoration de la lingerie et des lits en font un grand usage. C'est à cette époque qu'apparaît l'appellation "dentelle", remplaçant celle de "passemens". Elle est réalisée par les femmes dans toutes les couches de la société : pour les unes, il s'agit d'une distraction, pour les autres une source de complément de revenu. Son utilisation s'accroît encore à la fin du XVIe siècle et durant tout le XVIIe avec les énormes collets. Cette exagération est à l'origine d'un édit somptuaire promulgué par Louis XIV en 1660 qui en limite l'utilisation. Cet édit énumère les dentelles les plus utilisées : la gueuse, simple et peu chère, le point de Gênes, le point de Raguse, le point de Venise, le point d'Aurillac, la neige, légère et bon marché, la dentelle de Flandre, la dentelle d'Angleterre, le point d'Alençon, la dentelle du Havre. Les conséquences de cet édit sont très lourdes pour de très nombreuses ouvrières. Dès le 27 mai 1661, le roi  avoue son erreur : "Nous avons été très touché de compassion d'apprendre qu'un grand nombre d'artisans qui tiroient la subsistance de leur famille de la manufacture des passemens et dentelles étaient réduits, faute d'ouvrage, en de grandes nécessités. À ces causes, nous disons, déclarons, voulons… que nos sujets puissent porter toutes sortes de passemens et dentelles, pourvu qu'ils soient faits et manufacturés dans notre royaume". 

L'engouement pour ces dentelles pèse sur le budget de la France qui voit ses importations augmenter et ses devises s'éloigner : la production du royaume est insuffisante. À partir de 1665, Colbert, une fois de plus, fait appel aux spécialistes. Alfred Franklin nous rapporte un soutien très particulier qui montre son intérêt pour cette industrie : "À l'instigation de Colbert, le compte de Marsan amena de Bruxelles à Paris sa nourrice nommée Dumont avec ses quatre filles, et il obtint pour elles le droit exclusif d'y établir des ateliers de dentelles. Colbert leur accorda trente mille livres, avec lesquelles elles  s'installèrent au faubourg Saint-Antoine ; un des Cent-Suisses du roi gardait la porte de cette maison, où l'on vit bientôt réunies plus de deux cents ouvrières, presque toutes appelées du Hainaut et de Venise. Cette manufacture fut ensuite transportée rue Saint-Sauveur, puis dans la rue Saint-Denis à l'ancien hôtel Saint-Chamond". Il convient de remarquer ici l'importance des dentellières étrangères qui, bien souvent, au péril de leur vie, viennent former des ouvrières françaises. Colbert ne s'arrête pas là. Il fonde une école à Auxerre et accorde un privilège exclusif de dix ans aux manufactures royales d'Aurillac, de Sedan, de Reims, du Quesnoy, d'Alençon, d'Arras, de Loudun "et autres du royaume". Dans les "autres du royaume", peut-on inclure Le Puy-en-Velay, Sens, Auxerre, Montargis, Bourges ou encore Issoudun qui hébergent déjà des manufactures royales ? Celle d'Alençon concentre les innovations répercutées sur les autres. Toutes les dentelles fabriquées par ces manufactures doivent être désignées comme "point de France", même si, bien souvent, elles résultent de points de villes étrangères. Ainsi, celui d'Alençon, appelée aussi point d'hiver comme celui d'Argentan, n'est qu'une copie de celui de Venise. Seule différence, les motifs qui sont plus légers, cernés d'un crin ou d'un cheveu. À côté des manufactures royales, des fabriques s'installent dans le royaume, en particulier à Luxeuil-les-Bains, ville thermale située entre Italie et Flandres où les dentellières créent leur propre dentelle qui remportera un immense succès au XIXe siècle auprès des curistes. À Paris, on en trouve au château de Madrid, au faubourg Saint-Antoine. On y utilise, bien sûr, le point de Paris. De nombreux autres points sont utilisés, suivant la région ou le pays : le point à la reine fabriqué aux Pays-Bas par des dentellières d'Alençon, le point coupé, la nonpareille, la bisette devenue commune en fil de lin, la mignonnette, la campagne, le point de Lille… sans oublier la blonde fabriquée par les blondiers : une dentelle de soie qui présente différents types, comme le berg-op-zoom, la chenille, le persil, la couleuvre. La qualité des dentelles ainsi produites relègue Venise qui ne tardera pas à copier la dentelle française, dès 1734.

En quelques années, plusieurs centres exportent leur production : Le Puy, en Auvergne, Le Quesnoy en Artois, Valenciennes dans le comté du Hainaut français. Ce dernier domine durant le règne de Louis XV grâce à ses décors : fleur, composition moins serrée et mouchetée de pois. La dentelle de Malines, en Flandre, se distingue par un fil brillant. Après des débuts difficiles, les ateliers de Chantilly produisent une dentelle noire qui remporte un immense succès au XVIIIe siècle : basée sur les points de Valenciennes et de Malines, elle propose un "fond double" à maille hexagonale. On peut encore citer Mirecourt (Lorraine/Vosges), Saint-Mihiel (Lorraine/Meuse), Dijon (Bourgogne), Sedan (Ardennes)… Au risque de déplaire à certaines dentellières, il est impossible d'établir une liste complète !

Au XVIIIe siècle, la dentelle a toujours la faveur des aristocrates et de la bourgeoisie, avec la mode des canons et des rhingraves. Les militaires ne la craignent pas : c'est l'époque de la guerre dite en dentelles. La Révolution, comme pour la broderie, considère ses accessoires comme superflus, mais le Directoire et le 1er Empire relancent la mode avec les jabots et les manchettes. Les exportations chutent après la guerre franco-prussienne de 1870. Elles sont compensées par la mode des robes à crinoline du second empire et la création des costumes régionaux. Au cours du XIXe siècle, la production s'industrialise dans presque toute la France, et pas seulement dans les villes aux traditions textiles anciennes, dans le Nord, en Normandie, dans le Val de Loire, en Auvergne, en Rhône-Alpes, dans les Vosges, en Lorraine.

C'est à un anglais que l'on doit les premiers essais d'une machine à denteler : à Nottingham, un ouvrier nommé Hammond réalise un tulle uni, proche du réseau de Bruxelles, avec une machine à bas. En 1813, ce sont deux mécaniciens, John Heathcoat et John Leavers,  de la même ville, qui débarquent à Rouen. Ils sont suivis par d'autres et par des ouvrières - à Valenciennes, Douai et surtout Calais dès 1816 -, alors que l'exportation des machines à tulle est interdite par les autorités anglaises. En 1824, à Lyon, Colas et Delompré reproduisent des dessins avec un système Jacquard. Quelques années plus tard, les anglais conjuguent le système Jacquard avec le métier circulaire à tulle. Ils obtiennent des dentelles proches de celles de Valenciennes, d'Alençon, de Cluny, de Chantilly, cette dernière appelée dentelle de Cambrai. De réels progrès sont réalisés en 1881 par un ingénieur du nom de Mallière.

Parmi les dentelles mécaniques de renom, nous avons cité celle de Calais. Il faut également lui associer celle de Caudry. Les deux sont réalisées sur métier de Leavers. Celle de Calais est étroite, destinée à la lingerie alors que celle de Caudry, plus large, est utilisée par la Haute couture.

La dentelle à la main reste toutefois inimitable, "prouve, par son aspect extérieur, l'habileté de celle qui l'a faite et par sa rareté la dignité de celle qui la porte". Inimitable, mais copiée avec intention de tromper. C'est le cas au XIXe siècle avec la reprise de motifs anciens, le vieillissement des étoffes, l'utilisation avant la vente, et pour les fils d'or ou d'argent, patine obtenue à l'aide de vapeurs d'acide chlorhydrique ou d'ammoniaque. Quelques astuces permettent de distinguer la dentelle à la main : une largeur irrégulière, des motifs inégaux…

Nous avons trouvés des sites très complets sur le sujet de la mécanisation. Nous n'en citons qu'un seul : Jours et arabesques. Il apparaît à nouveau que les étrangers, en l'occurrence des anglais, jouent un rôle très important dans ce domaine.

Une fois de plus, la mode va jouer sur la demande. A la fin du XIXe siècle, la dentelle à la main disparaît de l'habillement, persiste dans la lingerie et le linge de maison. L'État institue des cours dans les écoles primaires des départements concernés : en vain. L'association "La dentelle de France" n'a pas plus de succès lorsqu'elle demande des modèles à des artistes reconnus. La reprise est, cependant perceptible, à partir des années 1970, notamment à Alençon (aiguille) et au Puy (fuseau). Calais et Lyon se distinguent en produisant de la dentelle mécanique classique ou à base de fibres élastomères utilisées dans la mode et la haute couture.

La dentelle n'est pas une exclusivité de l'Italie, de la France ou de la Belgique. On la retrouve dans toute l'Europe et en Amérique du nord, du sud et centrale.

L'histoire de la dentellerie est faite de l'évolution des techniques, de la création artistique, des exigences de la mode, de questions financières… Elle doit, également, tenir compte de l'organisation du métier, du fabricant faisant fabriquer à l'ouvrière dentellière. Comme nous l'avons déjà évoqué, la dentelle est, au début, une distraction tant pour l'aristocrate que pour la petite bergère : l'aiguille, le carreau, les fuseaux se transportent facilement. Le métier ne demande pas de force physique ; il est exercé en même temps que d'autres : paysanne, nourrice, soignante, gouvernante. C'est aussi un métier saisonnier dépendant du travail de la terre : la production diminue en été et les prix montent, en hiver l'inverse se produit. Par contre, les salaires sont toujours très bas  et les contrats écrits avec les commanditaires sont rares.

Bien souvent, ce sont toutes les filles de la maisonnée qui dentellent, dès l'âge de 6 ans, sous l'œil bienveillant de la mère. Des institutions religieuses prennent aussi  en main cette formation, comme à Bayeux ou dans le Velay, attirant dans la ville des fabricants qui trouvent là une main d'œuvre habile. Ces établissements sont contraints de fermer durant le temps de la Révolution, et reprennent leurs activités avec le 1er empire. La loi de Jules Ferry sur la laïcisation de l'enseignement, en 1882, a le même effet sur cet enseignement dès lors réservé à des institutrices laïques souvent incompétentes. Parfois, les entreprises forment elles-mêmes leurs ouvrières suivant un contrat d'apprentissage suffisamment long pour être très rentable pour les formateurs. En Haute-Loire, une "École pratique de dentelle" est fondée en 1838 au Puy-en-Velay. Sans doute est-ce la cause de la place de premier qu'occupe ce département dès 1850 pour la fabrication de la dentelle. Un enseignement artistique y est également proposé dès 1903 dans les écoles primaires et, pour les dentellières déjà expérimentées, une école, "La dentelle au foyer", est ouverte, toujours au Puy, apportant de nouvelles connaissances et une expérience sur un grand nombre de points.

Jusqu'au XIXe siècle, avec l'arrivée de la mécanisation, les dentellières à la main travaillent surtout à domicile, à façon. Elles sont payées à la pièce. Pour les donneurs d'ordre, cela n'est pas sans problème, notamment au niveau du transport. Du fait de la dispersion des lieux de production, un intermédiaire est nécessaire entre le fabricant faisant fabriquer et l'ouvrière : c'est le travail de la leveuse.

Les dentellières qui travaillent dans les manufactures ne sont pas mieux loties pour les salaires. Elles préfèrent désormais travailler à leur compte, réalisant des copies de points anciens vendues à bas prix, concurrençant les manufactures.  Si les salaires sont bas, la dentelle est chère, parfois même très chère, et donc convoitée. Les chemins n'étant pas sûrs, il n'est pas rare que des gendarmes escortent les livraisons. Jusqu'en 1665, et même au-delà, la contrebande sévit sur tout le territoire car la production française est insuffisante ou de qualité moyenne. Au XIXe siècle, cette contrebande concerne aussi les machines à denteler qui arrivent en pièces détachées depuis l'Angleterre.

Quel est l'attrait pour la dentelle aujourd'hui ? La mode a bien changé depuis le XIXe siècle. La dentelle n'a plus vraiment la cote auprès du grand public et il est difficile d'imaginer nos hommes politiques avec des manchettes en dentelle ! Et pourtant, elle peut être considérée comme le fait d'un véritable métier d'art qui ne devrait pas s'éteindre. Son utilisation dans la lingerie féminine et en Haute couture en sont la preuve.

Pour terminer cet article, nous évoquons rapidement une dentelle particulière, d'origine arabe, le macramé. À l'origine de cet art, l'habitude de nouer les franges des étoffes pour éviter qu'elles ne s'effilent : une action universelle de conservation que l'on retrouve en Amérique latine, bien avant notre ère. L'idée de créer en même temps des motifs décoratifs se serait développée surtout en Arabie. Si, à l'origine, cette technique sert pour les vêtements, l'apparition des ornementations touche les toiles de tente, les paniers d'alfa (graminée), puis les vêtements, la décoration de la maison, l'ornement des coiffures, les bijoux. Les matériaux utilisés sont la laine, l'alfa, le cuir, des perles de verre. Ce macramé est importé d'abord en Italie, et de là, dans toute l'Europe. Il est plus souvent en lin ou en chanvre. Les marins des bateaux à voile, spécialistes des cordages, des drisses et des nœuds, pratiquaient cette technique durant les longues traversées des mers.

Pour réaliser cette dentelle, on dispose d'une pelote lourde pour qu'elle soit fixe : "On peut mettre dans une simple caissette, dont on aura enlevé le couvercle et la moitié d'un côté, de la grenaille de plomb et une couche épaisse de sciure ; on recouvre le tout d'une étoffe très tendue, on a ainsi un métier pratique permettant de disposer les fils avec facilité."

Nous n'en dirons pas plus : cela dépasse de loin nos compétences. Le sujet est abondamment traité sur internet et montre l'intérêt de cette technique, notamment pour la décoration des intérieurs. En annexe nous vous présentons quelques points et réalisations en dentelles ou macramés.

 

 

 

 

 

ANNEXES

 

Dentelles à l'aiguille ou aux fuseaux

 

     

             

     

 

     

     

   

 

   

         

Dans notre rubrique "Exposition", vous pouvez également découvrir les réalisations des dentellières membres de notre association : des compositions remarquables, en couleur, évoquant de nombreux thèmes.

 

Dentelles aux métiers

 

 






   

 

 

Macramé

 

   

 

   

 

     

 

 

     

 

   
 

 

   

 

   

 

     

 

 

 

FIN

 

 

 

Bibliographie

Grand dictionnaire encyclopédique Larousse, 1982

A.Franklin, Dictionnaire Historique des Arts, Métiers et Professions exercés dans Paris depuis le treizième siècle H. Welter éditeur en 1906 réédition Bibliothèque des Arts, des Sciences et des Techniques, 2004

Revue "Nos ancêtres, vie et métiers", n° 54, 2012

Nouveau Dictionnaire de la Vie Pratique, Hachette, 1923

Larousse ménager illustré, 1926

Le Macramé, par Mle Du Puigaudeau, Collection Cartier-Bresson, 1912